26 février 2007

Tendinite : repos forcé

Mon entrainement est en sourdine pour l'instant, mon ostéo m'a détecté une tendinite au fessier gauche. Donc je vais me mettre au vert quelques temps pour pouvoir faire le www.trail-des-cabornis.org
reprise "As soon as possible"

23 février 2007

Repérage nocturne du Trail des Cabornis

Ce soir, alors que les filles sont encore à Arles envacances nous décidons de reconnaître le parcours du trail des Cabornis version 8 km 300mD+. On a baissé les prétentions, tout dabord parceque Valérie souhaite commencer l'activité trail et comme elle est beaucoup plus raisonnable que moi magré son passé de coureuse elle veut faire son premier sur une distance très courte. La deuxième raison qui m'a poussé a accepté facilement c'est que j'ai une douleur au niveau de la hanche qui me poursuit depuis le Milmil's. J'ai peur d'en faire trop donc j'écoute ses conseils avisés. Nous partons de nuit de St Romain au Mont d'Or non loin de la maison du Chaos ici en version nocturne et diurne (prise le surlendemain en visite culturelle. Nous partons donc de ce lieu superbe. Vive Erhmann !!
Nous attaquons très rapidement la montée dans le dur, Valérie a du mal, l'ongle qu'elle s'est explosé aux 7 Laux, la fait souffrir. Nous décidons donc de couper en sortant du vert et de rejoindre la voiture. Nous avons pu admirer tout de même quelques primevères.
Nous ne ferons donc que 4km 300mD+



19 février 2007

18 Février : Cochettes - Roybon - Font Froide 15km 500mD+


Nous quittons Belledonne pour le Vercors où nous dormons à l'hotel de la Roseraie. Hotel sympa un peu chérot, toutes les chambres sont à 97 euros pendants les vacances. Nous héritons de la petite piaule du bout sans expo sans hydro massage... Snif... Elle s'appelle quand même Pont de l'Amour, ça rattrappe mais juste. Je fais sensation en entrant dans le h'otel avec mon swallow tail Swell Panik. Le patron me lance un "ah!!!! un apocalypse. J'ai fait les premiers avec Régis Rolland y en a un dans le local à ski". effectivement dans le local au mur trône un superbe swallow tail du début des années 80 soit 4 ans avant que je n'en cronstruise moi-même. Ca fait plaisir de rencontrer un vrai pionnier du surf des neiges en France. Nous dînons rue de la République. C'était délicieux. Après un petit-dej tardif en route pour les Cochettes point de départ de la sortie du jour.








Montée assez raide vers le refuge Roybon où Valérie photographie mon passage. Pendant la montée je n'ai pu courir qu'une ou deux fois au milieu et un peu à l'arrivée au refuge.




En suite on embraye par le GR91 vers Font Froide. Là c'est environ 6 km de balcon plus ou moins plat, sur un sentier très souvent enneigé et étroit. Il fût parfois très aérien et technique ce qui m'a empêché de courir pendant environ la moitié de ce parcours. Ayant perdu de vue ma partenaire. Je me suis fais quelques auto-portraits sur le parcours.






















A Font Froide j'attends Valérie et c'est reparti pour la descente de 5km vers Villard de Lans je cours quasiment tout le temps.

Ca manque encore de style quand même et pis y pourrait sourire quand son épouse le prend en photo. Merde alors !!






















Fin de la descente plus que 2 ou 3 km et c'est la voiture. Ouf !






Après l'effort le réconfort, à Villard de Lans pour l'achat d'un saucisson artisanal au Beaufort et d'un chti bout de Comté. Puis c'est le reour sur Lyon le bilan de la semaine n'est pas mal : 35km et 1782mD+. sans compter les 6 bornes avec Kanouk bien sûr. (98kg au début du week end 96.6kg à la fin).

17 Février : Le Pas de la Coche 2041m 12km 900mD+

Premier week-end en amoureux

de l'année. Direction le Grésivaudan (massif de Belledonne). Nuit à l'hotel mélody dans la vallée (40 euros pas cher !) départ de l'hôtel à 6h00, montée vers le point de départ. c'est facile, quand la voiture ne peux plus avancer tu te gares et hop. Bon pour nous c'est deux bornes et 200m en dessous du vrai point de départ le "pont de la Beta". Nous partons donc de nuit en étant les deuxièmes sur zone. On assiste au levé de soleil sur le massif de la Chartreuse. valérie qui pose devant la Chartreuse a encore un visage reposé. Ca ne va paqs durer. En ce qui me concerne et comme on peut le voir ci-dessous, je suis dans le rouge depuis le départ. Valérie jusqu'au refuge Habert d'Aiguebelle, crapahute en tête ce qui lui laisse le temps d'admirer les paysages et les chamois. J'a quand même eu le temps d'en shooter un.





















On ne peut pas être en paix sur cette montagne. Sous chaque cercle vert se cache un randonneur. Ben bou diou, ça en fait du monde.














La montée finale est raide, Valérie commence à taper dans le dur.















Ca y est c'est gagné on entre au pas de la coche
























Enfin presque, on le voit au fond. Mais le plus dur est fait. OUF !
















Moi aussi j'arrive dans le pas de la Coche un peu cassé.











Mais comme d'hab au moment de la photo on oublie tout.











Tous les deux au sommet de cette course. on casse une petite croute devant un refuge, on chausse et hop on se jette à corps perdu dans la descente.










Un petit remontant à base de frites à Prapoutel...








En guise de récupération on va promoner le chien (Kanouk qui veut dire flocon de neige en Inuit) avec "tonton Christian". 5 ou 6 km de quasi plat, ça fait du bien aux jambes. Ce chien est une vraie star dans la station.



Un autre le soir à base de bière, de ravioles de Royan et de fondue savoyarde. Mais cela nous le paierons demain.








A suivre...

14 février 2007

13 Février : Le No Moon Thou Trail 8km 382mD+

Les enfants en villégiature dans le sud, les soirées sont plus tranquilles, nous décidons donc pour passer du 13 au 14 février, de se faire un petit entraînement dans les Monts d’Or sur un parcours déjà testé il y a quelques jours de Curis aux Monts d’Or jusqu’au Mont Thou par la crête (voir carte ci-contre) mais cette fois ci de nuit et sans lune. Nous baptisons cette sortie le « No Moon Thou Trail ». Vers 20h45 nous garons la voiture et entamons la montée d’abord sur la route puis en forêt. Il n’y a rien à faire dès que la pente est de quelques pourcents je n’arrive pas à courir. Il y a encore du boulot je pense. Nous courons donc dans les faux plats. Passage à la Croix Vitaise. Puis assaut final. Sur le sommet, des amoureux garés là nous foutent les pleins phares dans la gueule. Sympa merci. 45 minutes pour 382 m D+ soit 509,3m/h par contre 5,3 km/h et là ce n’est pas génial. Nous faisons une petite photo de Valérie avec Lyon illuminée en fond sans flash pour ne pas subir les foudres d’Alliot-Marie. Bon du coup elle n’est pas très nette, mais c’est que je ne voulais pas mettre en péril la force de frappe nucléaire française. A ce moment là, nous voyons arriver par le même chemin que nous deux vététistes à la frontale comme nous. Finalement des dingues y en a plein et c’est vachement rassurant. Nous entamons la descente et là je dois dire que j’ai pu courir durant tout le trajet ce qui constitue un progrès. J’ai également inaguré ma première chute (hors neige bien sûr) en voici le résultat sur mon collant. Descente en trente minutes soit 8 km/h ce qui n’est pas terrible non plus m’enfin. Ce qui nous fait 6.4 km/h de moyenne. Nous avons décidé de faire de ce petit parcours notre référence pour juger de nos progrès.

13 février 2007

Février 2007 - Les Opies Alt 498m - 10km 530mD+

Après avoir passé la soirée du vendredi à déambuler dans Lyon (voir ci-dessous) et après avoir tenté sans succès de courrir 3km sur le plat samedi, nous nous levons dimanche avec la ferme intention de défier les Opies. Les Opies, Opiho en provençal, ont donné leur nom au massif des Alpilles. Ce sommet est le point culminant des Alpilles à 498m, entre Aureille et Eyguière (à proximité de Salon de Provence). Nous avions décidé de nous attaquer à la face sud pour la montée et de redescendre par le nord. Ce choix était assez adapté à notre niveau puisque la montée en free-ride est très raide. Il faut d'ailleurs parfois s'aider avec les mains et la descente, en tout cas depuis le col, est douce et sur un bon sentier. Elle permet de courrir, donc quasi grimpette à la montée et course à la descente, idéal pour des débutants époumonés comme nous. Je recommande donc aux très bons de le prendre dans l'autre sens. Garés au cimetière le GR6 part vers le nord-est, à l'embranchement prendre à droite puis grimper à gauche dans un vallon ou sur une crête de votre choix direction le sommet. En fait nous avons rallié un vallon qui avait un sentier assez bien tracé pour attaquer la dernière partie. Ce n'était pas du free-ride dans toute la montée. J'ai fait une petite découverte : "Ne fais pas du free-ride un lendemainde pluie". En effet après trois pas la végétation a donné toute son eau à mes superbes New Balance et je me retrouve avec les pieds trempés. Nous rejoignons le sommet en 50 minutes depuis le parking soit 444m/h : naze. On sort les coupes vent et on redescend à l'opposé de ce qu'il fallait (mais en le sachant) en free-ride encore en suivant les sentiers tracés par l'eau qui ravine. Alors là dans les buissons nous sommes trempés en quelques minutes. Dès que nous rejoignons le bon vallon nous remontons vers le col et entamons la descente vers le cimetière (sic) en petite foulée. Nous croisons une jeune femme qui monte en courant avec une très belle foulée... Y en a partout c'est écoeurant. Mon beauf me met 5 minutes dans la descente (3,5km) et je met une minute à mon épouse. Mais elle ne s'est pas foulée pour une ancienne championne régionale de sprint et dans les dix premières en cross. Bon c'était il y a vingt ans mais quand même je pense qu'elle a visité.




Bilan du week end 45km et 1500mD+ OUF !!!